02.04.2022
Le sous-comité de l'Organisation maritime internationale (OMI) chargé de la prévention et de la lutte contre la pollution se réunit lundi pour (re)mettre au pas la pollution des transports maritimes.
L'OMI a une longue liste de problèmes de pollution dont elle peut discuter (et résoudre).
Il y a le fioul lourd, un carburant si toxique qu'il est interdit de le brûler sur terre (mais il est toujours brûlé en mer). Il y a les marées noires, elles sont en augmentation. Les déversements de boulettes de plastique et de "nurdle" sont également en augmentation. Et il y a les filets de pêche "fantômes", laissés à la dérive dans l'océan par des navires de pêche industrielle négligents, qui sont également en augmentation.
En fait, toutes les formes de pollution des océans sont en augmentation, et ce parce que la réglementation et le contrôle sont insuffisants au niveau international.
L'OMI doit prendre les devants et faire son travail, elle doit remplir sa mission environnementale. Et l'OMI doit commencer à demander des comptes à l'industrie et cesser d'écouter le discours vert des lobbyistes de l'industrie et des faux représentants nationaux tels que Capitaine Ian Finley.
Regardez notre court-métrage ci-dessous pour en savoir plus sur l'OMI.
La rébellion de l'océan exige :
L'ONU doit créer un nouvel organisme transparent et représentatif pour gouverner l'océan dans l'intérêt de TOUTE vie. La restauration et le réapprovisionnement de l'océan doivent être les seuls critères de réussite de ce nouvel organisme. Il doit remplacer le pouvoir des entreprises par le pouvoir du peuple. Et il devrait représenter les nombreuses formes de vie marine qui font de l'océan leur foyer.
Film d'Alex Morgan
Le sort de l'océan dépend de nous tous.
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